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Migrants se font passer pour faux refugies syriens pour entrer en Europe
Par qui – publie par qui? Quand?
Cet article a été publié par Souad Mekhennet et William Booth le 23 Septembre. C’était un article en anglais, et trouvé sur le Washington Post. Pour lire de l’article originale, suivi le lien dessous:
Il s’agit de quoi?
Il s’agit des migrants, que certains se feraient passés pour des faux réfugiés Syriens, pour pouvoir se fondre dans la masse et ainsi entrer en Europe sans se faire remarquer. Ils profitent simplement du flux d’immigrants.
Venez d’ou? Qui sont-ils?
Parmi eux, il y a des Pakistanais, des Albanais, des Egyptiens, des Kosovars, des Somaliens et des Tunisiens en provenance des pays où la pauvreté et la violence règnent, mais pas de la guerre.
Pourquoi?
Ils viennent à l’Europe pour changer de vie et avoir leur chance. Certains parmi eux veulent profiter de l’accueil que l’Europe offre les réfugies Syriens.
Surtout, il y a plus des opportunities à vivre et travailler en Europe. Selon l’article, “une syrien qui viens de la ville d'Alep bombardée sera le bienvenu, mais un programmeur informatique du Kosovo ne le sera pas.”
Comment on connait ses faits?
Parce qu’il y a des journalistes dont l'un parle arabe ont ainsi découvert, en se baladant dans la gare de Vienne en Autriche, que certains qui se prétendaient Syriens n'avaient pas le bon accent et leurs histoires ne tenaient pas debout.
Ce n’est pas seulement des journalistes qui se decouvert dans les migrants, mais aussi des authorities. Le ministre fédéral allemand de l'Intérieur Thomas de Maizière a déclaré que “les fonctionnaires responsables de l'accueil des migrants voyaient souvent défiler de faux passeports syriens, et rencontraient également de "faux" Syriens ne maîtrisant pas la langue arabe.”
Selon des temoignages, un passeport syrien pourrait s'acheter 200 dollars à la frontière turque, et aussi une carte d'identité et un permis de conduire pour 2000 dollars en Turquie sous le nom d'un vrai homme, tué pendant le conflit.
La probleme -
Donc, le flux de réfugiés et trop pour l’Europe. Il est difficile à verifier chacun separement. C’est aussi la raison pour laquelle il y a une possibilité pour réfugiés qui ne sont pas Syrien d’échapper les points de contrôles. Les pays frontaliers, comme Croatie et Hongrie, ne sont pas prêts pour accueillir un tel nombre de réfugiés.
Notre point de vue:
A notre avis, l’Europe est trop tard avec élaborer un plan pour contrôler les réfugiés. Le flux est attendu. Si les pays de l’Europe avaient collaborer plus tôt, le problème pourrait être plus petit. Maintenant, c’est une plus grande malaise. Nous pensons qu’au début, les pays Européennes ont pensé trop à leur intérêts intérieures. La solution devait être trouvée précédemment. Dans ce cas les contrôles serions plus efficace. Ils ne sont pas d’accord parce qu’il y a une division dans l’opinion publique et aussi dans la situation politique. Donc peut-être c’est une opportunité pour l’Europe à apprendre une leçon pour la prochaine fois.
Bibliographie:
http://fr.sputniknews.com/international/20150925/1018409716/migrants-faux-syriens.html
Par Iris De Leede et Benjamin Khoo