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John Kerry, secrétaire d'Etat américain, et Frank-Walter Steinmeier, ministre fédéral des affaires étrangères allemand, lors d'un congrès sur les réfugiés syriens. [1]

John Kerry, secrétaire d'Etat américain, et Frank-Walter Steinmeier, ministre fédéral des affaires étrangères allemand, lors d'un congrès sur les réfugiés syriens. [1]

Alors que les opinions américaines fâce à la crise des réfugiés syriens ne sont pas bien connus en Europe, elles soient importantes pour trouver une solution efficace puisqu‘elles déterminent également son déroulement. C’est la raison pour laquelle il est indispensable de bien comprendre la politique américain face aux réfugiés syriens et la discussion interaméricaine influençant le traitement en proche future.

Le secrétaire d’Etat américain, John Kerry, a annoncé le 20 septembre que les États-Unis sont prêts à accueillir 85 mille migrants en 2016 et 100 mille 2017, dont 17 mille réfugiés syriens en total. C’était la première confirmation des États-Unis d’accueillir un nombre fixe des syriens. Cette annonce, cependant, est discutée de façon controversée.

Les démocrates, y compris les candidats à la présidence, sont d’accord avec la politique de M. Kerry. Hilary Clinton, l’ancienne secrétaire d’Etat, préconise encore plus de soutien aux réfugiés et une politique plus ardent que celle de l’administration de Barack Obama à l’égard de Syrie. D’autre part, Bernie Sanders semble hésitant à préciser le nombre des réfugiés que les États-Unis doivent accueuilir.

Les opinions des candidats des élections présidentielles républicaines, par contre, sont beaucoup plus fragmentées. Bien qu’il y ait des voix qui demandent à accepter la responsabilité des États-Unis pour les racines et les événements de la guerre civique syriens la plupart adapte des positions refusant. La crise des réfugiés est estimé d’être un problème européen dans lequel il ne faudrait pas se mêler. De plus, l’accueil des réfugiés semble aux candidats républicains d’être une occasion pour des terroristes d’entrer aux États-Unis clandestinement.

La position la plus restrictive est adaptée par Carly Fiorina, ancienne PDG de Hewlett-Packard. Elle est convaincue que les États-Unis ont déjà fait assez pour ne plus être responsable. De plus, elle également croit que l’accueil des réfugiés menace la sécurité de l’intérieur aux États-Unis par rapport aux terroristes. Quand même, il y a des opinions remarquablement ouvert. Lindsay Graham, sénateur de Carolina du sud, a annoncé de vouloir déconstruire la statue de la liberté si les États-Unis se livre à l’isolationnisme.

Bibliographie:

[1] http://www.lemonde.fr/ameriques/article/2015/09/20/les-etats-unis-se-disent-prets-a-accueillir-85-000-refugies-en-2016_4764722_3222.html

[2] http://www.cbsnews.com/news/where-the-2016-candidates-stand-on-the-syrian-refugee-crisis/

Lukas Buhmann, Tanner Pace

Tag(s) : #migrants
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